Approches alternatives et "Energies"
Publié le Dimanche 08 mars 2015, 08:55 - modifié le 08/03/15 - PRÉVENTION - Lien permanent
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Que peuvent apporter aux malades de Lyme les approches de la médecine chinoise, de la sophrologie, du chi kung et du chi nei tsang ?
Samedi 14 mars à Foix (Ariège)
La borréliose de Lyme est une pathologie complexe avec toutes les co-infections qu’elle traîne derrière elle et qui assiègent un malade réagissant différemment selon son état général, son système immunitaire ou son système digestif.
Si complexe, que les médecins qui s’en occupent préconisent une approche globale et non pas une seule façon de soigner.
La médecine chinoise, la sophrologie, le chi kung, le chi nei tsang, et il y en a bien d’autres,[1] sont des pratiques spécifiques souvent dites "douces" qui recherchent l’équilibre entre physique, organique, esprit et vont permettre aux malades de gérer leurs douleurs ou leur stress. On les oppose aux pratiques dites "invasives" de la médecine occidentale officielle. Mais en cancérologie aujourd’hui en France, ces médecines alternatives sont de plus en plus adoptées sous la pression des malades, très demandeurs.
Le Dr Horowitz parle dans son livre de cette vision globale essentielle pour traiter la maladie de Lyme.
Des thérapeutes spécialisés dans ces pratiques offrent leur compétence à des malades qui y découvrent des vertus insoupçonnées et le soutien qui leur fait souvent défaut.
Pour mieux comprendre ce dont il s’agit, trois praticiens sont invités à en débattre samedi 14 mars à Foix (Ariège, 65).
- Les "énergies" en questions
- Le rôle de ces énergies dans la maladie ?
- Que peuvent apporter ces pratiques aux malades de Lyme ?
Lors du débat à l’Assemblée nationale sur la proposition de loi Lyme 2291, une député Mme Chaynesse Khirouni, avait insisté sur cet aspect :
Nous ne devons pas leurrer les malades. Cette pathologie complexe nécessite maintenant une médecine intégrative, pluridisciplinaire, et donc une prise en charge globale du patient. Le temps est venu de lancer une grande campagne d’information et de prévention auprès du public face au développement de cette maladie.
Il s’agit là de mesures qui s’inscrivent dans la durée, bien au-delà de l’examen d’une proposition de loi, et dans le cadre plus global d’une nouvelle stratégie nationale et régionale de santé publique.
Pour compléter votre information : "Médecines douces, pourquoi sont-elles marginales à l’hôpital ?" dossier spécial « médecine douce », 6 février 2014, par Elisabeth Marshall, rédactrice en chef du magazine La Vie.
Note
[1] Pour information on pourra consulter les fiches de PasseportSanté sur la médecine chinoise; sur la sophrologie, sur le chi kung; ainsi que le site officiel de chi nei tsang.
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le samedi, mars 14 2015, 14:15, pour une durée de 3 heures 45 minutes