Pour mémoire, c’est bien cette "non-assistance à personnes en danger", qui a poussé un pharmacien à créer un remède d’HE qui a pu soulager un grand nombre de laissés pour compte. L’interdiction de ce produit a reposé la question des alternatives... au vide ! 
Pourquoi tant de difficultés à soigner ? Parce que la borréliose touche tous les organes et provoque du "mal-partout", d’où tout un panel de pistes thérapeutiques, depuis les anti-parasitaires et anti-mycosiques en accompagnement d’antibiotiques ciblés en cure jusqu’aux solutions homéopathiques ou phytothérapiques, toujours dans le cadre d’un traitement de longue haleine et en parallèle avec des soutiens parfois inattendues (détoxifieurs, yoga..).
Les plantes, vues souvent comme désuètes, vont avoir des effets naturels bactéricides, anti-infectieux ou antalgiques  efficaces. Mais l’absence de médications officielles s’accompagne d’une inflation d’ "offres pharmaceutiques" peu éthiques où pointent les risques de dérives.
Dans le cas d’une borréliose persistante, et au vu de la faiblesse ou de la disparition des défenses immunitaires, l’essentiel est de comprendre que l’alimentation importera beaucoup. Il faudra surtout drainer l’organisme, boire (pour évacuer les toxines), équilibrer le digestif et l’intestin (pour permettre, tel le second cerveau qu’il est, les neuro-transmissions), renforcer le système nerveux central (pour solliciter les capacités de résiliences), consolider l’immunité (pour offrir aux défenses naturelles de s’imposer); tout cela en envisageant le corps dans sa globalité et non comme un assemblage hétérogène.