L'émission de la RTBF
By Rédaction RBLF on Monday, April 14 2014, 11:58 - RÉACTIONS - Permalink
Critique de l’émission de la RTBF : Question à la Une :
!!Maladie de Lyme : Une nouvelle épidémie ?
By Rédaction RBLF on Monday, April 14 2014, 11:58 - RÉACTIONS - Permalink
Critique de l’émission de la RTBF : Question à la Une :
!!Maladie de Lyme : Une nouvelle épidémie ?
Comments
Je n'ai pas vu de générique, ni à la fin ni au début, le youtube ayant coupé le tout début... et l'émission n'est pas visible sur le site parce que je me trouve dans "un pays dans lequel la diffusion de ce programme n'est pas autorisée"...!!!
Ci-dessous un début de brouillon... que je ne peux terminer ce soir...
Encore une pas piquée des tiques!
Ce mercredi 9 avril, les téléspectateurs belges et autres, toutes celles et ceux qui s'intéressent à la Maladie de Lyme pensaient regarder un reportage dont le titre alléchant:"La Maladie de Lyme: une épidémie?" pouvait incliner à imaginer qu'enfin le déni était remis en cause...
Les seuls habitants de la Belgique y étant autorisés, les autres durent se contenter de l'enregistrement tronqué parut sur Youtube.
Mais au demeurant était-ce si grave?
Qu'avons nous appris sur la Maladie de Lyme, ses symptômes, les difficultés de son diagnostic, sa gravité et les immenses difficultés qui sont le quotidien de milliers de personnes en Europe pour ne s'en tenir qu'à notre continent? Rien que nous ne sachions déjà depuis des années pour le plus grand nombre d'entre nous, tout simplement pour l'avoir vécu.
Ce qui est grave, par contre, c'est la manipulation intellectuelle à laquelle se sont livrés les responsables de cette émission.
S'acharnant à brouiller les informations recueillies auprès de vrais spécialistes comme la chercheur Valérie Obsomer qui étudie les tiques, le Docteur Horowitz médecin américain bien connu de nos lecteurs, le Professeur Perronne, responsable infectiologue de l'Hôpital de Garches, ils ont insisté par leurs commentaires orientés pour décrédibiliser et diaboliser les malades, leurs associations, les médecins, soignants et thérapeutes qui ont décidé de les aider au contraire des autorités sanitaires qui les abandonnent ou les enferment en psychiatrie.
Par exemple, à propos de la mondialisation de la maladie soulignée par le Docteur Horowitz, le commentaire dénonce "l'analyse très menaçante désapprouvée par les autorités de santé". Pour le commentateur comme pour les fameuses autorités ce n'est pas la maladie qui est menaçante pour la santé des populations, mais son affirmation par un médecin expérimenté.
Ne serait-ce pas parce que cette analyse pertinente remet parfaitement en cause les dites autorités, qui non seulement faillissent à leur devoir de prévention, mais bloquent sciemment toute avancée scientifique et médicale sur le problème?
L'incompétence et la suffisance bornée, le mépris des malades et de leur calvaire est sans doute atteint par le soi-disant spécialiste Docteur Philippe Léonard qui ose déclarer à propose des traitements antibiotiques de longue durée dont il combat l'utilité, "qu'il existe une communauté révisionniste animée par beaucoup d'activistes qui sont très actifs sur internet". On a du mal à croire que cet individu qui profère de telles insultes envers les malades à la télévision est médecin. A-t-il jamais appris le Serment d'Hippocrate?
de manière à ce que les téléspectateurs les moins avertis puisse croire à une grave mystification de la part des borrélieux, de leurs associations, des médecins, soignants et thérapeutes qui ont décidé de ne pas abandonner les malades, au contraire.
Les propos des responsables belges de la santé sont particulièrement odieux, car ils affirment de façon délibérée
Durant une bonne vingtaine de minutes, le reportage fit alterner en couches superposées commentaires affirmatifs, interrogatifs, interviews diverses d'opinions contradictoires, si bien qu'ayant eu du mal à avaler ce millefeuille indigeste, à la fin l'envie vous prenait d'en régurgiter la plus grande partie.
Il est même étonnant d'imaginer qu'il ait pu être réalisé par la même personne, tant la qualité de certains intervenants et leurs témoignages entre en contradiction avec la médiocrité du choix d'autres interviewés et de leurs propos.
Vous avez sans doute compris que les phrases sans suite de la fin ne sont là que pour pouvoir m'en resservir à un moment ou un autre...
Voici ce que j'ai mis sur l'agenda du rBLF pour info en bas de l'annonce. Cela peut servir d'intro à l'article.
>ENCORE UN DOCUMENTAIRE FAISANT LA PART BELLE AU DÉNI, en contradiction avec les données objectives, prônant des thèses non renseignées; où l'on assène comme vérité imparable l'incompétence truffée de morgue de médecins soi-disant responsables. L'utilisation publique contre les malades de borréliose des termes "Négationnisme" et "activistes" qui politisent très négativement leur combat et le dévoient est passible de POURSUITES JUDICIAIRES.
Au préalable j'avais mis cet autre texte qu'on peut réutiliser pour le prochain article sur le reportage de La 5; et je l'ai enlevé dans cette attente.
> DOCUMENTAIRE DÉNATURÉ, INCLUSIONS D'IMAGES CONTRIBUANT A FAUSSER LA COMPRÉHENSION, UTILISATION DES MUSIQUES D'ORIGINE SUR DES SCÈNES NOUVELLES... TRAVAIL DE FAUSSAIRES, LES PRODUCTEURS DE L'ÉMISSION DE RTBF ONT RÉÉCRIT LE FILM EN DÉTOURNANT SON PROPOS. PLAINTE EN COURS
Très bien ta tournure : "Il est même étonnant d'imaginer ..."
Question technique : l'enregistrement provient de Valérie Obsomer (fondatrice de BelgiumLyme) la chercheuse qui coordonne l'étude qui remet en question la salubrité des forêts belges (http://www.tekentiques.net/); elle a été envoyé à Judith et son mari l'a archivé sur son YouTube privé (celui auquel nos avons accédé). J'ai demandé à avoir l'entièreté de l'émission. Mais pas simple il semble.
En réécoutant attentivement je n'entends pas négationnistes mais révisionniste:
transcription:
« EN Belgique, tous les spécialistes rencontrés critiquent très sévèrement ces traitements longs. qualifiés de dangereux et portés par des activistes. »
« il y a une communauté révisionniste animée par des activistes très actifs sur internet.
ces gens là..."
Crotte! ça a effacé...
Je recommence... et vous mets la nouvelle version...
Réponse à l'émission de la RTBF
Média-reportage sur RTBF: encore un pas piqué des tiques... un de de trop!
Dans le discours :
"« EN Belgique, tous les spécialistes rencontrés critiquent très sévèrement ces traitements longs. qualifiés de dangereux et portés par des activistes. »
relever "tous les spécialistes rencontrés" et pointer leurs qualifications:
- le visqueux Léonard-connard n'a commis qu'une publication, et pas en accès libre (http://orbi.ulg.ac.be/handle/2268/1...)
pr. Philippe Leonard
Chef de clinique - médecine interne et maladies infectieuses
CHU de Liège. Au CHU rien sur la maladie.
- la Quoilin est responsable du S/ce infectiologie de la santé belge dans le réseau Pasteur. L'égale de Christmann + Massip. Cette "mafia" dirait R17. (cf. les docs que j'ai envoyé ce matin + ces liens :
Sophie Quoilin, Resp service épidémiologique et maladies infectieuses Institut de Santé Publique de Belgique (http://www.ulb.be/)
Membre du Scientific Institue of Public Health
http://ecdc.europa.eu/en/epiet/inst...
voir image
et organigramme :
http://www.pasteur-international.or...
L'Institut Scientifique de Santé Publique (WIV-ISP) est Pasteur International.
Membre du CA (secrétaire) d’Action Belgique pour un sourire d’enfant, (enfants chiffonniers du Cambodge). Action le 18 mai en Belgique (20km de Bruxelles).
Page sur la maladie de Lyme de Pasteur-International dont sont issus essentiellement les propos des infectiologues de l'émission :
https://www.wiv-isp.be/news/Pages/Z...
Quand j'ai vu ton commentaire publié j'ai pris la liberté d'aller aérer les paragraphes (coupures à revoir bien sûr) pour mieux le lire.
Le Philippe Léonard a déclaré:" il y a une communauté de révisionnistes animés par beaucoup d'activistes qui sont très actifs sur le web"
Je rectifie, mais ça ne change rien sur le fond... ni sur les définitions du Petit robert, simple lapsus de ma part.
Gep, tu as le champ totalement libre pour une présentation qui aide le lecteur à voir clair et dénonce les objectifs réels de cet égout...
Pour ce qui est de la qualification des spécialistes rencontrés, il est indispensable de l'indiquer dans les notes pour ne pas alourdir l'article.
Mais là je n'ai plus le temps... je suis là-dessus depuis après le p'tit déj, je n'ai même pas fait ma toilette!!!...
Je me suis pris le temps de visionner le "vrai reportage"
1 heure pour le chargement!
Rien à voir avec l'indigeste mise à mort des partisans de la chronicité.
Juste relevé quelques détails "incorrects" (GEP je te trouve naturelle, comme tu es..bien....) je déplore juste que l'on n'ait pas abordé la controverse IDSA/ILADS genèse du déni....
Mais le propos n'est pas là..vu que nous ne sommes pas censées avoir vu le "vrai" reportage.
Je viens de lire le PDF d'H2O à l'instant.....je vous donne carte blanche.
Ais bossé sur la traduc et cette aprèm....je dois partir
a ciao......
J'ai relevé le lien pour les définitions Petit Robert...
Il faut que je revoie le texte car j'ai zappé le triste crétin de Purpan... encore un lapsus à corriger.
Je vous renverrai l'ensemble.
A+
Entre "nazis" et "Quel est l'objectif réel des réalisateurs" ajouter ceci:
Ensuite la présentation de l'interview du professeur Patrick Massip de Toulouse utilise comme une évidence l'argument d'autorité, l'opinion de «la grande majorité des généralistes et spécialistes», phrase significative qui démontre immédiatement l'ignorance abyssale du présentateur sur la question. En effet, dès le départ et a priori, il nie implicitement et sans aucune preuve la possible chronicité de la maladie de Lyme, et les propos de l'interviewé ne font que le conforter dans son erreur.
Cette erreur est partagée aujourd'hui par ceux qui s'instituent les prétendus gardiens et défenseurs de la vérité médicale et scientifique, comme apparaît le Professeur Patrick Massip de Toulouse, dont les malades qui ont eu affaire à lui peuvent témoigner qu'il a le cœur aussi tendre qu'une bordure de trottoir! Il n'hésite pas à balayer l'idée même de chronicité possible d'un revers de main sans argumentation ni scientifique ni médicale: «On ne peut pas aujourd'hui accepter que la maladie de Lyme soit considérée comme une maladie chronique...» et avec une moue condescendante il ajoute: «...il peut y avoir quelques séquelles... probablement... articulaires voire neurologiques... c'est possible (air dubitatif)...… au bout d'un certain temps... le microbe est mort... et c'est fini!... par contre le microbe a pu faire quelques dégâts... et ces dégâts peuvent peut-être donner quelques séquelles... voilà en tous cas.. ma façon de voir les choses». La réitération de «quelques» accolé à «dégâts» et «séquelles» montre à quel point se situe l'indifférence de ce contempteur du déni aux souffrances multiformes et toujours recommencées des malades.Toute l'émission est basée sur la conception que se font les détracteurs du déni de la maladie de Lyme telle qu'elle se présente au bout de plusieurs mois et années, parce que un grand nombre de malades ignorent encore l'existence même de cette maladie, les tiques et leur dangerosité, et quelle reste donc non dépistée et non traitée par encore trop de médecins maintenus dans l'ignorance... Et la simplicité apparente du traitement de la maladie ne recouvre que les cas pour lesquels la piqûre est récente, connue et reconnue. Tous les problèmes n'interviennent que dans les cas méconnus et ignorés.
Je vous envoie la totalité du nouveau texte remanié par mail. Malheureusement, j'ai un peu de mal pour la mise en forme telle que je la souhaiterais avec odt. Gep, je te ,la laisse améliorer?
Je vais voir ton texte avec cette structure à mettre en avant (pour mémoire pour l'instant):
- les propos diffamatoires (invoquer le texte de loi)
- la volonté délibérée des journalistes de mettre en pièce les arguments des chroniques (citer en détail) et renvoyer à leur charte (doc)
- les qualifications des intervenants négateurs (infectiologues-Pasteur notamment) (doc; à ne pas mettre en note mais dans le texte: il s'agit du nœud du problème) et non qualifications (le Léonard).
Et il faut penser au titre, capital.
"RTBF: le mot de trop !"
Et la phrase de chapeau la plus ramassée possible (à revoir)
"Encore une fois les malades sont accusés et le micro ouvert aux partisans du déni par des journaleux sans scrupule accréditant des thèses dépassées et des propos diffamatoires. Honte et scandale !
Après on peut embrayer sur le texte de H2o.
Mais selon moi en passant les injures avant la partie proprement analyse de la manipulation intellectuelle. Non ?
Ai lu les 3 com. de Gep
D'accord sur la démarche...
"RTBF: le mot de trop!"... un peu court... "RTBF: Trop c'est trop!"...?
Une fois de plus, les malades accusés, mis à l'index et les thèses dépassées des partisans du déni portées au nues: des journaleux incompétents et cyniques accréditent des propos diffamatoires.
Que l'émission «Questions à la Une» programmée le 9 avril sur la RTBF n'ait rien appris de nouveau aux téléspectateurs alléchés par le titre «La Maladie de Lyme: une épidémie?» n'est pas un scoop! Ils sont habitués à la paresse de la plupart des journalistes qui se contentent d'aborder un sujet sans l'approfondir et de disposer les oppositions de points de vue comme des boxeurs sur un ring, comptant sur l'aspect saignant des débats pour faire monter l'Audimat...
Sauf que le sang qui coule dans ce reportage est celui des borrélieux et que ceux qui les agressent ainsi ont pour responsabilité sociale et devoir moral et professionnel de chercher les causes de leurs souffrances, de leur procurer des traitements curatifs et de tout faire pour que la solidarité humaine puisse s'exercer... Que des médecins profèrent ainsi de tels propos diffamatoires sur les malades, c'est très grave!Voici ce que pourrait donner le début de l'article...
"RTBF: Trop c'est trop!"
Une fois de plus, les malades accusés, mis à l'index et les thèses dépassées des partisans du déni portées au nues: des journaleux incompétents et cyniques accréditent des propos diffamatoires.Que l'émission «Questions à la Une» programmée le 9 avril sur la RTBF n'ait rien appris de nouveau aux téléspectateurs alléchés par le titre «La Maladie de Lyme: une épidémie?» n'est pas un scoop! Ils sont habitués à la paresse de la plupart des journalistes qui se contentent d'aborder un sujet sans l'approfondir et de disposer les oppositions de points de vue comme des boxeurs sur un ring, comptant sur l'aspect saignant des débats pour faire monter l'Audimat...
Sauf que le sang qui coule dans ce reportage est celui des borrélieux et que ceux qui les agressent ainsi ont pour responsabilité sociale et devoir moral et professionnel de chercher les causes de leurs souffrances, de leur procurer des traitements curatifs et de tout faire pour que la solidarité humaine puisse s'exercer... Que des médecins profèrent ainsi des propos diffamatoires sur les malades, c'est très grave! Ce qui est grave, aussi, c'est la manipulation intellectuelle à laquelle se sont livrés les responsables de cette émission.
Le reste à la suite...
Difficile de visualiser ici... je vous envoie le PDF et odt...
A + je vais dans la salle de bains...
Vu la modif d'H2o.. par courriel..
A l'instant..j'arrête traduc 20h45 puis demain la suite....
Vous contacte demain pour news
J'arrête à peine de mon côté aussi. Gros boulot: j'ai une étudiante admissible et il me faut la cornaquer d'ici l'épreuve. Oral blanc ce matin. Vous dis pas le taf. Aujourd´hui j'ai quasiment pas pu me mettre à RTBF. Et là je sature avec des yeux de grenouille. Demain il fera jour comme on dit.
En titrant "trop c trop" on enlève la question des mots diffamants.
En titrant "trop c trop" on enlève la question des mots diffamants.
....
Justement... Je le comprends à l'inverse... Le déni, le mépris et la diffamation en prime!... Trop c'est trop!
Le vase déborde!
Traiter d'activistes et de révisionnistes des gens comme moi qui dès qu'ils ont eu conscience de ce qui leur était arrivé et de ce que risquaient tous ceux qui ne sont pas prévenus, qui ont distribué des informations sur papier et continuent sur le web pour que les autres ne connaissent jamais les souffrances et angoisses endurées,etc... Assimiler ces actions de prévention très pacifiques (et pour cause nous sommes seuls et sans force physique, plutôt handicapés...) à des doctrines politiques violentes et au négationnisme... ça dépasse vraiment les bornes de l'intelligence, de la compréhension, et de la capacité à entendre de tels propos!...
Réfléchissons à une action en Justice concertée contre ce Léonard et le commentateur, entre personnes qui se sentent concernées... y en a plus que ras la casquette!
"trop c'est trop" est trop faible, c'est ce que je veux dire. et s'adapte à toutes circonstances insupportables.
"le mot de trop" sans doute trop faible aussi mais il porte l'accent sur cet infamant "mot" (activistes, révisionnisme) au-dessous de tout, scandaleux, etc.
Il me semble qu'il faudrait trouver qqch de fort avec cette idée de l'injure.
"RTBL : l'injure inacceptable; trop c'est trop !"
un truc ds le genre ?
"RTLB: injures et anathème... Trop c'est trop"
Une double injure: activiste et révisionniste
Anathème:les malades qui se défendent et veulent s'en sortir sont montrés du doigt et criminalisés et en plus par ceux-là même qui sont payés par l'Etat/nous pour faire ce boulot. Inacceptable! Ecoeurant! Révoltant!
Pourquoi ne pas simplement dire : ras le bol? ou bien une "lettre ouverte à tous ceux qui la ferment"
Je reviens d'un massage de nirvana
Je cogite A+
Tes propostions "ras le bol" ou "lettre ouverte..." n'expliquent rien à celui qui ne sait rien. On part du principe qu'on est toujours à reprendre à zéro les explications. Le titre dans une revue en ligne comme RBLF doit dire un minimum de quoi il s'agit.
Pour ce texte, un chapeau introducteur, qui annonce la couleur serait utile. Ensuite le développement avec une présentation large et une analyse détaillée. De telle manière que les rapides aient déjà tout compris avant la fin. Pour les pas pressés, la suite permet de détailler.